Par Hénock El Nova
La tension de la débauche monte dans la ville de Kinshasa, le jour de la nativité, célébrée 25 Décembre de chaque année, et le jour du nouvel an, 1er Janvier. En cette période, bars, boîtes de nuit, hôtels, terrasses, ou encore ce qu’on appelle « Kuzu », sont grandement ouverts afin d’accueillir des vies innocentes.
Des nombreuses kinoises se laissent facilement emporter par ce courant passager que pour recevoir des petits cadeaux de Noël et de Bonne année et livrent leurs corps aux « mecs-renards », après une gamme de flatteries profiteuse.
Tel un mouton vers l’abattoir, les jeunes filles et femmes sont emmenées, pour se faire dévorer voire déflorer, et tous ces sacrifices, dans l’intervalle de deux jours de fête. Quel gâchis !
Je dois, en tant que féministe, décrier de vive voix cette pratique qui n’honore pas la femme africaine. Surprenant est de voir une célèbre fête comme celle de Noël se transformer en journée de débauche, impudicité, alors que ça serait un instant de méditation et de joie dans la présence du Seigneur et Sauveur Jésus-Christ. Femmes, ne cédez pas à l’impureté !
Les « Ujanas » en chasse
Il y a quelques mois que ce concept a pris de l’ampleur dans le jargon kinois. Ujana suppose une fille ou garçon à l’âge d’adolescence, c’est-à-dire entre 12 et 18 ans. Les jeunes garçons, mais surtout les vieux, préfèrent les Ujanas, pour leurs charmes corporels,… comprenez
En faisant cela, nous devons comprendre d’ailleurs que c’est de la pire pédophilie en spectacle dans tous les coins de la capitale congolaise. C’est là que j’encourage les forces de la Police Nationale Congolaise à continuer leur lutte contre ce phénomène qui déshonore la jeune fille congolaise.
Les femmes, les mamans, les jeunes filles, je vous mets au défi de démontrer au monde votre force de résistance contre tous les prédateurs qui viennent détruire votre vie.
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